Différents critères entrent en ligne de compte lors du choix d'une solution ERP. D'une part, le logiciel qui répond aux grandes fonctions de l'entreprise, et son corrolaire, l'éditeur du soft et d'autre part, le prestataire qui sera en charge de l'intégration de l'application.
Ce sont les deux piliers de la solution, le troisième étant le client. Si l'une ou l'autre des parties n'est pas fiable, le projet risque d'être mis en péril. Et quelque fois, ce même client néglige sa part de responsabilité dans la réussite de son projet...
Au jeu de "qui est plus fort que qui", le client a tendance à chercher le meilleur dans chaque catégorie. Le meilleur logiciel édité par les meilleurs développeurs, la société de service dotée des effectifs les plus qualifiés. Dans ce concours, les plus petites structures n'auraient aucune chance. Sorte de David contre Goliath. Hors dans la réalité, force est de constater que les entreprises dont les tailles sont plus modestes obtiennent des résultats aussi probants que les grosses.
A quoi celà tient-il ? La réponse vient certainement de ce qu'on appelle communémment : l'agilité. Dans les faits de tous les jours, cela se traduit par une plus grande écoute, une meilleure flexibilité des consultants, une meilleure réactivité en cas de dérapage dans la conduite du projet, une plus grande implication des chefs de projet. Bref, en un mot comme en cent, une meilleure qualité de prestation pour le client. A la lourdeur de mise en oeuvre de ces paquebots que sont les grandes SSII, les plus petites mettent en avant leurs hors bords.
Les décideurs les plus avertis ont compris tout l'intêret de traiter avec des SSII à taille humaine. Elles aussi peuvent se targuer de belles réalisations, techniques souvent, qui constituent une belle carte de visite.
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